Page(s Revue de Presse
Art & Métiers du Livre n°349
Salon Page(s de printemps 2022
« Le Salon Page(s se décline en une édition en automne et une autre, d’un format plus réduit, au printemps. Le temps d’un week-end, la manifestation réunit plus d’une trentaine d’artistes, poètes, relieurs et éditeurs au Bastille Design Center à Paris. Leur credo ? Faire du livre un objet d’art. »
Art & Métiers du Livre n°347
Spécial Salon Page(s 2021
« C’est avec un réel plaisir que vont se retrouver créateurs de livres d’artiste et amateurs de bibliophilie contemporaine au salon Page(s, d’autant qu’il n’a pas pu avoir lieu l’année dernière pour des raisons sanitaires. Dans le beau bâtiment parisien du palais de la Femme, près d’une centaine d’exposants présentent leurs dernières créations au public et chaque session est accompagnée d’une exposition : cette année, elle est dédiée aux publications du Collège de ‘Pataphysique. Quant aux bibliothèques invitées, elles sont au nombre de cinq. Un programme de festivités bien soutenu pour un salon qui reçoit environ 6000 personnes pendant le dernier week-end de novembre. »
Le Parisien
Sortir à Paris, novembre 2018
« Le Salon Page(s permet de faire découvrir le livre « autrement », à un public élargi : approches sensibles, sensuelles, ludiques, souvent insolites !
Son but est de promouvoir le livre d’artiste et le livre illustré contemporain, et le travail des créateurs, artistes, éditeurs, typigraphes… qui leur donne tout leur valeur. »
« Les ouvrages présentés vont du minuscule, qui ne mesure que quelques centimètres, jusqu’au grand in folio : le livre se conjugue sous toutes les formes, de la plus tradionnelle jusqu’à la plus surprenante. Leporelli (livres en accordéon), pliages, découpes, jeux dans la mise en page… Le visiteur s’arrête, parcourt, feuillète… C’est le corps entier qui est mis en jeu, plus uniquement la vue ou le toucher.
Richesse des matières et des papiers, diversité des moyens d’impression des textes (ypo, offset, numérique, manuscrits), beauté des images gravées, à l’eau forte, au burin, à l’aquatinte, à la manière noire… mais aussi des collages, découpages, peintures, aquarelles, encres, dessisns, photographies… Ces livres devenus objets d’art, objets rares, sont tirés à peu d’exemplaires — et parfois même ils sont uniques.
Du plus tradionnel au plus innovant, ce trio de magiciens : auteur, plasticien, éditeur, exploite toutes les possibilités qui lui sont offertes par les techniques anciennes comme par les nouvelles technologies pour que le livre reste un espace privilégié du rêve et de la beauté. »
Art & Métiers du Livre n°320
Page(s) en mai 2017
La saison printanière du salon Page(s) change de nom et de lieu : « Livres en mai » devient « Page(s) en mai ». (…)
Livres à feuilleter, à déployer, histoires racontées en vers ou prose, jeux typographiques sur l’espace des pages, phrases manuscrites, techniques variées de gravure, photographie, peinture, collage, éditions limitées ou œuvres uniques constituent quelques-uns des éléments combinatoires aboutissant à un livre, contenu à lire et regarder. Citons quelques présences rares ou nouvelles, à côté des habitués de la manifestation : les Éditions 3/10 du photographe et imprimeur Gérard Joblot, Alain Cardenas-Castro Éditions, Joël Leick & Books and Things, les Éditions Max Marek dont les livres sont découpés au scalpel, l’atelier de Ye Xin, artiste aux multiples disciplines et imprimeur, ou encore les californiennes Malulu Editions, l’allemande Einhand Press de Reinhold Nasshan ou les françaises Éditions du Fenouil. Une remarquable dynamique se dégage de ce salon international, où se mêlent la richesse des sensibilités artistiques et les cultures du livre. » Marie Akar
— Didier Scuderoni, des écrins de bois pour le livre
— Yuan Jinta, invité d’honneur du salon Page(s) en mai
